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Focus énergie : un atelier qui fait du bien

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Vous arrive-t-il de manquer d’énergie? De vivre beaucoup de stress au quotidien? De ne plus savoir où donner de la tête tellement vous avez de choses à faire? De mon côté, la réponse à toutes ces questions est oui… Je m’en mets beaucoup sur les épaules, je ne dors pas assez et mon sommeil n’est pas toujours de qualité. De plus, j’ai très souvent des maux de dos et des maux de tête. C’est pourquoi je n’ai pas hésité une seconde à participer à l’atelier Focus énergie donnée par Larisssa Jean-Baptiste, chez Pro-Actif Santé, un studio où je m’entraîne et où je suis membre du Conseil d’administration.

J’ai connu Larissa comme instructeure de zumba au studio, une fille dont l’énergie est vraiment contagieuse. J’avais hâte d’assister à son atelier pour réfléchir aux façons d’améliorer mon mode de vie et me sentir mieux au quotidien. J’ai beaucoup aimé ces deux heures passées avec Larissa et les autres participantes. Je n’ai pas vu le temps passer!

J’avais donc envie de vous faire découvrir le parcours de Larissa et de lui poser quelques questions sur les thématiques abordées dans le cadre de son atelier.

1. Peux-tu me parler brièvement de ton parcours personnel et professionnel?

Comme je le raconte souvent, j’étais une vraie « nerd », c’est-à-dire que j’aimais l’école et que je me sentais seule. Ça voulait aussi dire que me détendre, prendre soin de moi ou m’amuser ne faisaient pas vraiment partie des priorités. De plus, comme la plupart des enfants, je n’avais pas de modèles de femmes qui disaient « je m’aime et j’aime mon corps »!

À l’adolescence, j’ai commencé à trouver que mon ventre devait être plus plat et que je devais perdre du poids. Ce qui a commencé par une diète pour maigrir s’est transformé en trouble alimentaire. J’aime les défis, alors j’ai investi environ une dizaine d’années à en guérir. Je voulais à tout prix me libérer de la pression sociale disant que « pour être heureuse, il faut être belle comme un top modèle de magazine ». Je voulais aussi recommencer à savourer la nourriture sans peur ou culpabilité et sans être constamment préoccupée par mon poids. Prendre soin de moi avec bienveillance est alors devenu une priorité.

Au niveau professionnel, j’ai complété une maîtrise en psychologie, travaillé en relation d’aide pendant plus d’une décennie, fait des consultations en santé et gestion de stress pour des organisations comme les Nations Unies et aidé les femmes avec différentes problématiques. Je suis également connue comme entraîneure de groupe et instructrice de zumba. J’adore la danse et mes 3 enfants!


2. Pour quelles raisons as-tu créé l’atelier Focus énergie?

J’ai commencé à présenter cet atelier lorsque j’ai décidé d’utiliser mon expérience pour aider d’autres femmes à se sentir vraiment bien dans leur corps et dans leur vie.

Mon but est surtout de susciter des changements de perspective sur notre façon d’aborder notre santé, nos choix de style de vie, notre corps, notre relation avec la nourriture.

Cet atelier vise, plus précisément, à proposer des outils concrets pouvant aider les femmes à :

  • Avoir plus d’énergie et moins de stress au quotidien.
  • Renouer avec leur corps et leurs émotions afin de se sentir mieux dans leur vie.


3. Quel impact souhaites-tu avoir auprès des participant(s) à cet atelier?

J’ai envie que les femmes se souviennent qu’elles peuvent choisir comment elles veulent se sentir au quotidien. Elles peuvent, par exemple, choisir de vivre moins fatiguées et moins stressées.

J’ai envie que les femmes réapprennent à faire confiance à l’intelligence de leur corps pour avoir l’énergie de réaliser leurs rêves.

J’ai envie que les femmes sachent qu’elles peuvent mettre fin à la guerre contre leur corps et qu’elles puissent vivre en paix avec la nourriture et avec leur apparence physique.

J’ai envie que les femmes vivent avec 100 % d’auto-bienveillance et 0 % de culpabilité!


4. Pourquoi, selon toi, les gens sont aussi stressés, fatigués et manquent d’énergie au quotidien?

Parce qu’ils ont oublié que leur corps est leur allié. Ils ont arrêté d’être leur propre meilleur ami et se sont éloignés de l’intelligence naturelle de leur corps. Ils cherchent à éliminer leurs symptômes le plus rapidement possible au lieu de se laisser guider par les messages que leurs malaises veulent communiquer. Ils choisissent un style de vie sans consulter leur corps et sans prendre leurs vrais besoins en considération.

Il y a aussi le fait que les gens (les femmes, en particulier) ont tendance à se mettre des exigences très élevées et à vivre avec une pression constante de « toujours en faire davantage ». Elles se sentent coupables de manger un dessert à la fin de la journée ou de faire moins de 5 séances hebdomadaires d’exercice physique. Elles ne se sentent presque jamais « assez bonnes » et veulent être la super maman, l’employée modèle, la partenaire exemplaire, la femme la plus belle-mince-attirante… Sans oublier qu’elles veulent aussi prendre soin de leur santé au maximum.


5. Quels conseils donnerais-tu à ceux et celles qui aimeraient changer leur mode de vie?

Je n’aime pas vraiment donner des conseils. Mon rôle est plutôt de suggérer des outils et d’être un support pour aider les gens à trouver leurs propres solutions et à utiliser leurs propres forces ou ressources. Je pense que chaque personne a besoin de trouver ce qui marche vraiment pour elle.

Donc, le point de départ est de faire une pause et de prêter attention à tout ce que notre corps nous dit. À prendre nos symptômes au sérieux. Si j’ai la migraine tous les jours, j’ai le choix entre dire à mon corps de se taire ou de me demander ce qui se passe. J’ai le choix d’aller à la source afin de trouver de vraies solutions durables, en modifiant mon mode vie, au lieu de me résigner avec mon malaise.


6. Aurais-tu des outils, des trucs à nous proposer?

Le truc le plus important est « qu’il n’y a pas de baguette magique ou de solution miracle ». Ceci n’est pas une bonne nouvelle dans un monde où tout doit aller de plus en plus vite.

Le 2e outil que je suggère est de se poser souvent la question « qu’est-ce que mon corps est en train de me dire »? Et de prendre ensuite le temps de décoder nos « symptômes ».

La 3e piste est de ne pas vouloir tout faire tout seul. Les amis, les connaissances, un mentor, un coach, des professionnels… Demander de l’aide n’est pas un signe de faiblesse.


7. Qu’est-ce qui s’en vient pour toi dans les prochains mois?

Le prochain atelier gratuit Focus Énergie est prévu pour le jeudi 3 novembre, à 18 h, à l’Anticafé Montréal. Cet atelier est pour les femmes qui veulent des outils pour avoir plus d’énergie et moins de stress en renouant avec leur corps de façon bienveillante.

Je prévois aussi un atelier sur le thème « Adieu les résolutions » le lundi 14 novembre, à 18 h, au même endroit. Cet atelier vise les femmes qui veulent atteindre leurs objectifs sans passer par la torture des résolutions de début d’année.

J’offre aussi un accompagnement personnalisé aux femmes qui désirent se sentir mieux dans leur corps et dans leur vie. Les clientes me contactent généralement parce qu’elles veulent augmenter leur confiance en elles, avoir plus d’énergie et moins de stress, se libérer des préoccupations liées au poids ou à la nourriture. Je travaille avec un nombre limité de personnes à la fois afin d’offrir le maximum d’investissement de ma part et de permettre aux clientes de vivre des transformations durables.

Pour suivre Larissa :

www.larissajeanbaptiste.com
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